QUI SUIS-JE ?
Pauline Dumont
Coach Ecologie Intérieure
EN BREF
Maman de 2 (beaux) garçons… et d’un chat (Sushi) – Très curieuse (et un brin espiègle) – Fan de cuisine, de séries TV et de France Inter (ordre au choix) – Ancienne addicte reconvertie des réseaux sociaux – Féministe (yep, yep, yep…) et écologiste (oh punaise !) … mais toujours de façon joyeuse 😊
Retrouve ta joie de vivre… autrement !
Il était une fois… Pauline Dumont
N’ayons pas peur de le dire : je fais partie de l’élite française. Pouah, que ça sonne pompeux ! Et pourtant c’est vrai.
Fille de diplomate, je suis née en 82 dans un milieu bourgeois, éduqué disposant d’un patrimoine financier et culturel.
Emirats Arabes Unis, Etats-Unis, Inde, Bolivie, je suis passée des gratte-ciels aux bidonvilles, d’une abondance faste à la misère – souvent les deux dans un même pays.
Cette conscience aigüe des inégalités liées à la naissance m’a profondément marquée – tout comme le décès de mon père à 56 ans, et de ma sœur, encore bébé.
Le temps et la santé sont les 2 ressources les plus précieuses que nous ayons. Life’s short. Nana-nanana.
Je ne suis pas diplômée d’HEC ou de Polytechnique, mais j’ai quand même un bon diplôme en poche que j’ai pu obtenir sans avoir à bosser à mi-temps au McDo.
J’ai travaillé 12 ans comme cadre dans le secteur bancaire.
Je suis aujourd’hui mariée à quelqu’un qui, en dépit de ma chute drastique de revenu suite à ma reconversion professionnelle, nous permet de vivre correctement.
Il était une fois… Pauline Dumont
N’ayons pas peur de le dire : je fais partie de l’élite française. Pouah, que ça sonne pompeux ! Et pourtant c’est vrai.
Fille de diplomate, je suis née en 82 dans un milieu bourgeois, éduqué disposant d’un patrimoine financier et culturel.
Emirats Arabes Unis, Etats-Unis, Inde, Bolivie, je suis passée des gratte-ciels aux bidonvilles, d’une abondance faste à la misère – souvent les deux dans un même pays.
Cette conscience aigüe des inégalités liées à la naissance m’a profondément marquée – tout comme le décès de mon père à 56 ans, et de ma sœur, encore bébé.
Le temps et la santé sont les 2 ressources les plus précieuses que nous ayons. Life’s short. Nana-nanana.
Je ne suis pas diplômée d’HEC ou de Polytechnique, mais j’ai quand même un bon diplôme en poche que j’ai pu obtenir sans avoir à bosser à mi-temps au McDo.
J’ai travaillé 12 ans comme cadre dans le secteur bancaire.
Je suis aujourd’hui mariée à quelqu’un qui, en dépit de ma chute drastique de revenu suite à ma reconversion professionnelle, nous permet de vivre correctement.
Fuite en avant et déclic écologique
Pendant longtemps, j’ai eu l’impression qu’il fallait rentrer dans le moule. Mais comment fait-on pour rentrer dans un rond quand on se sent carré ?!
Hmm… on compense ! Sorties, vacances aux 4 coins du monde, Netflix, Facebook, shopping… Tous les shoots de plaisirs sont bons à prendre pour tenir le rythme d’une vie trépidante sur le papier Insta.
Mais ?
Je me sens vide.
Début 2019, je tombe sur une interview de Pablo Servigne à la radio et là, c’est le tsunami : je tombe en écologie.
F*ck, ça fait mal ! Je me prends en pleine poire les enjeux systémiques auxquels l’Humanité est confrontée. La réalité est complexe, l’urgence est réelle.
C’est la cata.
Fuite en avant et déclic écologique
Pendant longtemps, j’ai eu l’impression qu’il fallait rentrer dans le moule. Mais comment fait-on pour rentrer dans un rond quand on se sent carré ?!
Hmm… on compense ! Sorties, vacances aux 4 coins du monde, Netflix, Facebook, shopping… Tous les shoots de plaisirs sont bons à prendre pour tenir le rythme d’une vie trépidante sur le papier Insta.
Mais ?
Je me sens vide.
Début 2019, je tombe sur une interview de Pablo Servigne à la radio et là, c’est le tsunami : je tombe en écologie.
F*ck, ça fait mal ! Je me prends en pleine poire les enjeux systémiques auxquels l’Humanité est confrontée. La réalité est complexe, l’urgence est réelle.
C’est la cata.
Maman-entrepreneure
A ce stade, je ne supporte plus :
- Mon job,
- Ma façon d’être (mère, notamment),
- Le rythme quotidien, effréné,
- Me sentir coupable, impuissante et TOUT LE TEMPS fatiguée.
Je me sens prise au piège dans une cage dorée : le confort inconfortable d’une vie à moitié endormie.
Et surtout :
Je ne veux plus, par mes choix de vie, participer à ce modèle socio-économique qui nous conduit tout droit dans le mur. Je suis tout à fait consciente du rôle et de la responsabilité que j’ai, en tant que privilégiée, pour contribuer à un nouveau monde, plus juste et durable.
C’est ainsi qu’est né Bee BadaBloom – de cette conviction que, pour changer le monde, il faut d’abord commencer par soi.
L’entrepreneuriat a donc été pour moi le moyen de reprendre le pouvoir sur ma vie, mon temps et ma parentalité.
Maman-entrepreneure
A ce stade, je ne supporte plus :
- Mon job,
- Ma façon d’être (mère, notamment),
- Le rythme quotidien, effréné,
- Me sentir coupable, impuissante et TOUT LE TEMPS fatiguée.
Je me sens prise au piège dans une cage dorée : le confort inconfortable d’une vie à moitié endormie.
Et surtout :
Je ne veux plus, par mes choix de vie, participer à ce modèle socio-économique qui nous conduit tout droit dans le mur. Je suis tout à fait consciente du rôle et de la responsabilité que j’ai, en tant que privilégiée, pour contribuer à un nouveau monde, plus juste et durable.
C’est ainsi qu’est né Bee BadaBloom – de cette conviction que, pour changer le monde, il faut d’abord commencer par soi.
L’entrepreneuriat a donc été pour moi le moyen de reprendre le pouvoir sur ma vie, mon temps et ma parentalité.
Mot de la fin… ou du début !
La transition écologique, c’est avant tout l’occasion d’une belle transformation personnelle… et collective !
Mon déclic écologique a sonné la fin à des années de dissonance cognitive – tiraillée entre ce chemin bien tracé par voie de naissance et la réalité de ce que je ressentais.
Honnêtement, je ne sais pas à quelle sauce on va être mangé dans les prochaines décennies.
Il va en effet falloir renoncer à un paquet de choses. Et je comprends à quel point ça peut être difficile de remettre en question ses privilèges et un certain confort de vie face au défi que représente la crise Ecologique et sociale.
Mais ce monde-là, avec toutes ses promesses de bonheur et de confort, nous rend-il vraiment heureux ?
Au fil des années, j’ai redéfini un projet de vie source de sens, de liberté et de joie. J’ai appris à revoir mon rapport au monde et au bonheur. A le décorréler de la réussite matérielle et sociale prônée à tout bout de champ.
Et pardi, je suis tellement plus épanouie et alignée aujourd’hui qu’avant !
L’heure est grave mais… la vie est belle.
Reconnectons-nous à notre âme d’enfant, à nos aspirations et à nos rêves.
Cultivons notre gratitude, notre joie de vivre et notre créativité.
Et fichtre, réinventons-le, ce nouveau monde !
Mot de la fin… ou du début !
La transition écologique, c’est avant tout l’occasion d’une belle transformation personnelle… et collective !
Mon déclic écologique a sonné la fin à des années de dissonance cognitive – tiraillée entre ce chemin bien tracé par voie de naissance et la réalité de ce que je ressentais.
Honnêtement, je ne sais pas à quelle sauce on va être mangé dans les prochaines décennies.
Il va en effet falloir renoncer à un paquet de choses. Et je comprends à quel point ça peut être difficile de remettre en question ses privilèges et un certain confort de vie face au défi que représente la crise Ecologique et sociale.
Mais ce monde-là, avec toutes ses promesses de bonheur et de confort, nous rend-il vraiment heureux ?
Au fil des années, j’ai redéfini un projet de vie source de sens, de liberté et de joie. J’ai appris à revoir mon rapport au monde et au bonheur. A le décorréler de la réussite matérielle et sociale prônée à tout bout de champ.
Et pardi, je suis tellement plus épanouie et alignée aujourd’hui qu’avant !
L’heure est grave mais… la vie est belle.
Reconnectons-nous à notre âme d’enfant, à nos aspirations et à nos rêves.
Cultivons notre gratitude, notre joie de vivre et notre créativité.
